C'est très imbus de soi-même ce que j'écris là, mais il est 7h et... c'est ça.
Je suis content parceque ma fin de semaine a été, disons, rock and roll, et ça tombait bien car je couvrais le show de l'une des dernières moitié du groupe qui a fondé ce style de musique, Paul McCartney. Et, comble de joie, toute cette folie démesurée autour de ce spectacle a fait que mes affaires ont fronté à Montréal, quelque chose qui m'arrive aussi souvent qu'une éclipse solaire depuis que je suis dans ma section au journal.
Alors voilà, auto-poignées de main, auto-claque dans le dos, tu as fait une bonne job ce week-end, maintenant, sacrez-moi patience avec McCartney, le 400e et la "folie des touristes". J'en ai assez.
Prochain mission: avoir internet chez moi. Ça se corse...
5 commentaires:
Clap clap clap!
Good work, son!
J’espère que ce n’était pas toi le titreur : Quand Pink Floyd a fait le stade en 94, ils avaient utilisé le même titre si ma mémoire est bonne. Comme quoi ils ont leur titre par défaut quand un vieux croulant du rock attire les masses.
J’ai presque hâte au retour des Stones...
Le titre, c'est moi à moitié, parceque j'ai appelé mon boss sur le deadline pour lui donner quelques cue et le mot "magique" est sorti. Peu original, en effet, mais c'est mieux que la fois où ils ont titré, et je cite: "Norah Nones sublime" pour mon texte sur Norah Jones.
Oui, oui, avec un N. En caractère 24.
La prochaine fois, utilise donc ton proverbial «vgénie». Comme ça, on va être sûrs.
Effectivement, le mot MAGIQUE en caractère 24 sur Paul McCartney, fait assez cheezy.
Ça rappelle un peu le succès Lucy in the sky with diamond.
Ce que je me demande, c'est quoi la folie de mettre le nom de l'artiste avec un qualificatif de brio?
Enregistrer un commentaire